Savez-vous comment l’autorégulation de la publicité se pratique chez nos voisins anglais ?
Au Royaume Uni, il existe deux entités :

Paroles d'observateurs de la pub
Savez-vous comment l’autorégulation de la publicité se pratique chez nos voisins anglais ?
Au Royaume Uni, il existe deux entités :
Vous avez forcément déjà entendu parler des influenceurs… Ces personnes qui expriment leur point de vue ou donnent des conseils sur un produit, un service, une marque, selon un style qui leur est propre. Ce phénomène a explosé depuis quelques années, les budgets du marketing d’influence ont décollé. Oui mais, depuis quelques temps, les « erreurs de jeunesse » ne sont plus pardonnées, et le recours aux bonnes pratiques établies par les professionnels plus qu’indispensable.
L’IA est un miroir pour l’homme, qui la nourrit de ses savoirs, de ses idées… La machine implémentée déduit d’après ces données, mais ne juge pas, ne discerne pas le bien, le mal, l’éthique et le crime. Usant de cet outil, la pub n’est pas à l’abri de ses déviances probables.
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Pour rappel, qu’est-ce que le Code ICC ?
Le Code ICC sur la publicité et les communications commerciales, qui profite de cette actualisation pour changer de dénomination[1] – ou Code ICC – est un cadre d’autorégulation applicable à l’échelle mondiale, développé par des experts de tous les secteurs industriels du monde entier, dont l’ARPP en France.
L’ARPP vient de mettre en ligne deux nouvelles animations graphiques, sous forme de Motion design. L’une porte sur la Recommandation Enfant et l’autre sur les Recommandations Automobile et Deux-roues à moteur.
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Le 1er octobre 1968, la première chaîne de l’ORTF diffusait en N&B le premier écran publicitaire télévisé en France. Cette ouverture à la publicité de marques, qui s’est faite après plusieurs années d’atermoiements et de débats, est un véritable tournant pour le marché publicitaire en France, jusque-là réservé exclusivement aux supports imprimés, aux radios privées (dites « périphériques », car émettant hors de France) et au cinéma. Mais cette libéralisation, dans le cadre du monopole d’Etat de l’audiovisuel, se voit immédiatement dotée de garde-fous : à l’instar des programmes diffusés – le conducteur du journal télévisé est par exemple encore soumis au Ministère de l’information – avec la création de la Régie Française de Publicité (RFP), société anonyme détenue à 51 % par l’ORTF pour la gestion de la publicité radio-télévisée publique, est constituée en son sein, une Commission de visionnage préalable des spots publicitaires à laquelle l’ARPP (le BVP à l’époque) sera associée dès l’origine. Une participation de l’autorégulation (créée depuis 1935), qui n’allait pas toujours de soi. Continuer la lecture de « ARPP et publicité télévisée, 50 ans de vérification »