Rappelons que la Loi relative à la lutte contre le tabagisme et l’alcoolisme – dite « EVIN » du nom du Ministre des affaires sociales et de la solidarité de l’époque -, est donc entrée en vigueur en janvier 1991. Ses dispositions, aujourd’hui intégrées dans le Code de la Santé publique, encadrent la publicité au profit des boissons alcooliques avec deux séries de contraintes :
Des mentions « contractuelles » sources de confusion dans le cadre d’une communication publicitaire
En publicité, il n’est pas rare de relever des mentions comme « document non contractuel » ou « représentation non contractuelle », « sans valeur contractuelle » …
La communication publicitaire de la distribution alimentaire à l’épreuve du Covid 19
L’urgence sanitaire nous contraint au confinement et bien évidemment met à rude épreuve notre système de santé. Mais ce contexte modifie aussi nos habitudes de vie, et le secteur de la distribution fait face aux besoins accrus des consommateurs. Parallèlement, certains agriculteurs français ont perdu une part non négligeable de leurs débouchés consécutivement à la fermeture des restaurants et disposent de stocks importants à écouler ou à récolter. Face à ce constat, les distributeurs sont donc confrontés à des arbitrages qui doivent concilier les impératifs de distanciation sociale, de soutien de leurs fournisseurs et de maintien de l’approvisionnement des consommateurs.
La ruée vers l’or
L’épuisement des ressources minières et une forte demande notamment liée aux tensions géopolitiques et à des taux d’intérêt très bas justifient que le cours de l’or batte en 2019 tous les records depuis plus de 6 ans. L’attrait pour ce métal précieux a fait refleurir des publicités aux formulations parfois attractives. Toutefois, des dispositions législatives, réglementaires et déontologiques encadrent le rachat d’or et répondent à un objectif de responsabilité sociale.